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THE WILD WORLD OF MISTER BROWN

25 août 2005

CHAPITRE 4 : LE DRAGON DE TOM JONES

C'était le jour du fameux concert de Tom jones, enfin plutôt le soir, c'est ce genre de soir ou vous savez qui va se passé un truc mais ou vous vous dites j'y vais quand même car vous pensez que ça arrive qu'aux autres . Le  concert se déroulait à knoxville,d'ailleurs là ou le givré de tarantino a vu le jour. On était en tournée histoire de raquer les commercants qui nous devaient un peu de fric. Tout se passait à l'aise, quelques coups de lattes par ci par là mais rien d'extraordinaire. On se rendait vers l'avant dernier enfoiré qui nous devait en plus du pavé vert un peu de poudre. On était comme d'hab 3 pour ce genre d'affaire, un qui pose les questions, un qui fout le bordel et le dernier qui tabasse. On roulait tranquille dans notre mustang 2, les gt c'était encore chéro même si les latinos nous faisait du rabais, mais bon l'important dans ce genre de caisse c'est uniquement 2 choses, la vitesse et le coffre. Pourquoi le coffre, ben quand vous avez 3 ou 4 machabés sur les mains et en les découpant bien  vous les casez facile. Alors on arrive, c'est le genre bar à bordel, établissement merdique pour clientèle merdique, pd putain nègre macaroni, toute la racaille des bas quartiers réunis, je parle pas des noirs et rital en général nan je parle juste d'une minorité, comme dans chaque communauté. Alors on arrive, on rentre avec nos costard à 10000$ devant toute cette pouriture, et on demande Vitti, le patron de cette saloprie. Le barman nous dit de monter avec une haleine genre mélange décharge et alcool de bas étage. On monte un escalier qui va rendre l'âme avec pour rampe une barre pour les rideaux foutu là pour pas qu'on puisse se cassé la gueule par terre. Mais là la surprise fut de taille, Sonni red était présent, ici dans notre territoire, sur notre quartier. Je crois qu'il avait pas compris la connerie qui venait de faire. Tout le monde commence à sortir les berretas et à les pointer sur chacun. Sonni red transpire, y a uniqument 1 gars à ces côtés, il pensait venir et partir vite, il est venu mais il partira les pieds devant l'autre. Il commence à nous parlé que vitti lui devait une caisse de sharlton eston, une caisse d'arme quoi on utilisait le code sharlston eston car cet acteur soutenait la détention d'arme. On a pas cherché à comprendre BANG un de ceux qui m'accompagne fout un pruneaux en pleine gueule au gars de sonni red. A cet instant je crois que red à compris la connerie qu'il à fait mais c'était trop tard. Je l'assois sur une chaise, vitti le patron de ce trou regarde sans rien dire et en n'ayant pas intérèt de l'ouvrir. On trouve de la bande adhésive, la grosse très dure ou il est impossible de ce détacher, mais on lui scoth pas la bouche. Là on réfléchit à ce qu'on va faire, red gueule le martyr alors qu'on l'a pas encore touché, là j'allume une cigarette, et je dis "j'aurais su on n'aurai ammené les pinces", et là BINGO. Je me pointe vers red et là j'allume mon briquet au même moment j'entend Tom jones chanté "What is it good for" car le bar est tellement pourri qui y a aucune isolation et là je commence à lui cramer les cils puis à lui foutre la flamme dans les yeux. Cette enfoiré peut pas bougé sa tête car on a soigneusement pris soin de lui scotcher au niveau du coup et du front.Donc je le crame je le crame, il gueule il gueule, mais le deuxième qu'est avec moi dis qu'on a pas trop le temp de s'amuser car le boss nous attend. Alors je lui demande d'aller me chercher la jerrican dans le coffre, il y va et me la ramène, là je fous un tube au bout et je lui fait boire les 2 qui m'accompagne lui font bien ouvrir la bouche. Après ce délicieux cocktail SCLING j'allume mon briquet et j'effleure très vite ses lèvres, on n'aurait dis un feu de joie interne, il cramait de l'intérieur. Vu le temp perdu on dit à vitti qu'on repassera et que le prix a désormais doublé, il dis rien et on lui dit de se débarrassé des 2 machabés, il hoche la tête rapidement, on descend l'escalier on ouvre la porte et on entend les applaudissement pour le concert, ça a du bon d'être artiste.

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22 août 2005

CHAPITRE 3 : MARIO

Ben ce jour là on était dans le quartier de Little Italy, on était invité pour conclure une affaire, un truc pas trop important. Et là y a mario qui s'est pointé, mario c'est un peu celui qui sais tout qui voit tout,un peu comme le vieux qu'on voit dans presque tout les films de Leone. Donc il s'assoit et il commence à nous raconter une histoire bien sûr accompagné de verre de vigne du pays. Il nous parlait de la guerre, de la seconde guerre mondiale, et il nous à dit "Vous savez ce que les putains de nazis faisaient pour s'occupé, ben je vais vous le dire moi il faisait ce qui appelait du Tir juif". Il nous a expliqué que les nazis se foutaient sur les miradors et tout le long des murettes des hauteurs et faisaient entré une cinquantaine de prisionniers ou plus. Et pi là ils les tiraient comme des lapins mais avec des règles, genre si tu réussi à en avoir 15 en moins de 5 mn ben là t'avais droit d'utilisé la mitraillette pendant 1 minutes, enfin un truc comme ça quoi. Et pi ils comptaient les points au fur à mesure jusqu'à ce que le jeu se finisse, enfin jusqu'à ce qui y est plus personne quoi. Je sais pas si mario disait des conneries ou pas, venant de lui çà m'étonnerait pas, mais bon ces nazis ils étaient tellement cinglés et atteint que ça pourrait être vrai.

21 août 2005

CHAPITRE 2 : LA MELODIE MUETTE

Je me souviens encore parfaitement de ce jour là,un jour qu'on peut pas oublié que je peut pas oublié et que je veux pas oublié. C'est comme si vous vous rappelliez de votre premier amour ou truc con dans le même genre. Il portait un costard noir une chemise blanche une cravate noir et des lunettes noirs. J'essayai de percé son regard à travers ses lunettes, c'était un regard vide perdu comme s'il attendait quelque chose ou quelqu'un, en savant et pensant que celà n'arrivera et n'arriverait jamais. Jamais un mot un son une syllabe, mais toujours à l'affut, oui à l'affut du moindre mouvement du moindre geste de chaque son pouvant émettre des 4 coins de la pièce. Certains l'appelait le muet, moi je l'appelait pas je l'observait. Une tête, oui une tête c'est ce qu'on a reçu un matin devant le local, local complètement pourri, ou on aurait pu crevé sans jamais qu'on nous découvre. Cette tête c'était celle de enishi  un jap qu'était arrivé y a pas très longtemps, et qui sera resté pas très longtemps aussi. Avant de le buté ils lui avaient arraché ses dents en or et ses couronnes en argent. C'était même pas pour l'or qu'ils ont fait ça, c'était pour nous faire comprendre  que le silence est d'or et la parole est d'argent, donc pour qu'on ferme nos gueules et qu'on se barre vite fait bien fait. Ce jour là c'est la première et seule fois que je l'ai vu parlé "Toi prend les flingues, on va liquidé les chinois". Ca faisait 1 mois que c'était tendu entre nous et la chinoiserie, au début c'était pas grand chose, des trucs genre respecte les limitations de terrritoire pour vendre tes grammes, mais au fur à mesure ça a dérapé, surtout quand un des notre à foutu une bouteilles pilé dans la gueule d'un des ses enfoirés. Enfin ce jour là après m'avoir dit cette phrase on est descendu au resto des ses enfoirés, le resto c'était leur local, et on a commencé à les dégommé un à un. Là il a chopé le boss, c'était comme dans les films, un gros entrain de transpirer en bouffant je ne sais quelle merde. Là le muet a pris une planche, genre planche à sushi et le   couteau le moins affuté qui l'a trouvé,pourquoi moins affuté, pour qu'il puisse sentir la douleur lors du craquement de l'os et du déchirement de la chair, et il à commencé à coupé chaque doigts de cette enfoiré, chaque doigts des chaque mains, et il l'a fini avec un tir dans la gorge. Après ça je l'ai plus jamais revu, il a pris la route toujours sans dire un mot sans rien demandé à personne. Un passage dans ma vie un passage dans la sienne.

tarantinop2

"Mon regard entrain de regardé les doigts tombés les uns après les autres en fait on aurait dit qu'on coupaient des carottes"

 

21 août 2005

CHAPITRE 1 : UNE ENTREE FRACASSANTE

J'sais pas si vous vous rappelez en 86, plus d'herbe nulle part la faute à la sécheresse les camé ils sucaient de la résine ils rongaient leur pipe en trepigant, mais cette fille elle en a un paquet et pi elle me supplie de l'écoulé. Alors je lui dit que j'aime pas trop faire le petit épicier mais bon je veux bien en prendre un poil en plus pour mes meilleurs copains et elle est d'accord et elle me propose comme commission 10% plus mon herbe à moi à condition que je l'aide ce week end ,elle a une brouette d'herbe à livrer et ça l'emmerde de porter ça toute seule, normalement y a son frère qui l'accompagne mais pas de bol il est en taule,pour un truc genre trafic de contredense que ce connard à payé avec un chèque bidon et il s'est fait embarqué.La nenete veut pas se coltiner avec tout ce chite mais je suis pas chaud du tout, j'là sent très mal cette histoire merdique, ouais mais elle supplie elle pleure elle pleure elle pleure et moi je craque tellement j'en ai marre de ces salades. Alors on doit prendre le type à la gare centrale, donc je vais à la gare avec la fille et on attend le gars et je tranporte le chite dans un des ces petits sacs d'aéroports et là il faut que j'aille pissé. Alors je dis à la fille t'inquiète pas je reviens et je part aux toilettes. Là j'ouvre la porte et qu'est ce que je vois 4 flicards en uniforme et un berger allemand. Et voilà que le berger allemand se met à aboyer, c'est sur moi qu'il aboie c'est parfaitement clair que c'est moi l'enemi, du coup tous le sang dans mes veines tous les poils de mon corps y a tout qui me crie part vite taille toi ça va péter alors fout le camp de là, la panique qui me prend partout comme une grande claque BANG en plein dans la gueule et je suis là et je suis paralysé et ces 4 flics qui me regardent ils savent bien sur ils sentent ça sur moi aussi bien que leur chien. Et pi là le flicard avec la moustache on aurait dit un connard d'hispanique, ben  il  me dit  d'ouvrir le sac, j'ouvre  le sac doucement tout en ne les quittant pas des yeux une seule seconde. Là pas 36 solutions, je prend le calibre 44 que j'ai foutu là bien rangé vers le chite , en pensant que j'aurai pas à m'en servir. Et là je plombe putain je plombe j'envoie des pruneaux sur les 4 flics partout, dand la gueule dans le bide BANG BANG BANG on n'entend que le canon du 44 gueulé. Tout de suite après je me casse , je cours je cours je crois que j'aurai pu remporté le putain de marathon du minesota à ce moment là. Donc je cours et je me fout en planque quelques heures histoire que l'affaire se calme, et pi quand la nuit commence à tombé je rentre chez moi comme si il s'était rien passé, et avec le sac d'herbe en plus, comme quoi des fois vaut mieux resté couché.

20 août 2005

THE SIMPLE LIFE OF MISTER BROWN

3 secondes je baisse cette putain de radio, (bien entendu je suis branché sur K-BILLY)

Je me présente je suis MISTER BROWN


rd_violencia2

En fait j'ai créer ce truc qu'on appelle un blog, même si je trouve le mot "blog" complètement con mais bon, pour vous montrer à quoi peut ressembler la vie d'un chien du reservoir, c'est vrai ça vous n'avez jamais eu envie de tout plaquer, vous barrer loin de tout, de ne plus voir ces êtres avides et moqueurs  qui vous défigurent, en fait peut-être que la vrai liberté c'est nous qui la possédons vraiment même si on peut canné du jour au lendemain mais nous on est libre. Vous aller découvrir les joies et les peines d'un des plus anciens métiers du monde, ben oui c'est un boulot comme un autre, vous allez donc découvrir ma vie telle quelle est sans fioriture ni censure. Alors je dis à toutes et à tous WELCOME IN THE WILD WORLD OF MISTER BROWN   

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