CHAPITRE 4 : LE DRAGON DE TOM JONES
C'était le jour du fameux concert de Tom jones, enfin plutôt le soir, c'est ce genre de soir ou vous savez qui va se passé un truc mais ou vous vous dites j'y vais quand même car vous pensez que ça arrive qu'aux autres . Le concert se déroulait à knoxville,d'ailleurs là ou le givré de tarantino a vu le jour. On était en tournée histoire de raquer les commercants qui nous devaient un peu de fric. Tout se passait à l'aise, quelques coups de lattes par ci par là mais rien d'extraordinaire. On se rendait vers l'avant dernier enfoiré qui nous devait en plus du pavé vert un peu de poudre. On était comme d'hab 3 pour ce genre d'affaire, un qui pose les questions, un qui fout le bordel et le dernier qui tabasse. On roulait tranquille dans notre mustang 2, les gt c'était encore chéro même si les latinos nous faisait du rabais, mais bon l'important dans ce genre de caisse c'est uniquement 2 choses, la vitesse et le coffre. Pourquoi le coffre, ben quand vous avez 3 ou 4 machabés sur les mains et en les découpant bien vous les casez facile. Alors on arrive, c'est le genre bar à bordel, établissement merdique pour clientèle merdique, pd putain nègre macaroni, toute la racaille des bas quartiers réunis, je parle pas des noirs et rital en général nan je parle juste d'une minorité, comme dans chaque communauté. Alors on arrive, on rentre avec nos costard à 10000$ devant toute cette pouriture, et on demande Vitti, le patron de cette saloprie. Le barman nous dit de monter avec une haleine genre mélange décharge et alcool de bas étage. On monte un escalier qui va rendre l'âme avec pour rampe une barre pour les rideaux foutu là pour pas qu'on puisse se cassé la gueule par terre. Mais là la surprise fut de taille, Sonni red était présent, ici dans notre territoire, sur notre quartier. Je crois qu'il avait pas compris la connerie qui venait de faire. Tout le monde commence à sortir les berretas et à les pointer sur chacun. Sonni red transpire, y a uniqument 1 gars à ces côtés, il pensait venir et partir vite, il est venu mais il partira les pieds devant l'autre. Il commence à nous parlé que vitti lui devait une caisse de sharlton eston, une caisse d'arme quoi on utilisait le code sharlston eston car cet acteur soutenait la détention d'arme. On a pas cherché à comprendre BANG un de ceux qui m'accompagne fout un pruneaux en pleine gueule au gars de sonni red. A cet instant je crois que red à compris la connerie qu'il à fait mais c'était trop tard. Je l'assois sur une chaise, vitti le patron de ce trou regarde sans rien dire et en n'ayant pas intérèt de l'ouvrir. On trouve de la bande adhésive, la grosse très dure ou il est impossible de ce détacher, mais on lui scoth pas la bouche. Là on réfléchit à ce qu'on va faire, red gueule le martyr alors qu'on l'a pas encore touché, là j'allume une cigarette, et je dis "j'aurais su on n'aurai ammené les pinces", et là BINGO. Je me pointe vers red et là j'allume mon briquet au même moment j'entend Tom jones chanté "What is it good for" car le bar est tellement pourri qui y a aucune isolation et là je commence à lui cramer les cils puis à lui foutre la flamme dans les yeux. Cette enfoiré peut pas bougé sa tête car on a soigneusement pris soin de lui scotcher au niveau du coup et du front.Donc je le crame je le crame, il gueule il gueule, mais le deuxième qu'est avec moi dis qu'on a pas trop le temp de s'amuser car le boss nous attend. Alors je lui demande d'aller me chercher la jerrican dans le coffre, il y va et me la ramène, là je fous un tube au bout et je lui fait boire les 2 qui m'accompagne lui font bien ouvrir la bouche. Après ce délicieux cocktail SCLING j'allume mon briquet et j'effleure très vite ses lèvres, on n'aurait dis un feu de joie interne, il cramait de l'intérieur. Vu le temp perdu on dit à vitti qu'on repassera et que le prix a désormais doublé, il dis rien et on lui dit de se débarrassé des 2 machabés, il hoche la tête rapidement, on descend l'escalier on ouvre la porte et on entend les applaudissement pour le concert, ça a du bon d'être artiste.